Le conseil de guerre est ouvert, les accusés à comparaitre pour trahison n'étant pas présent. le procès se dérouleras sans eux. Les officiers suivant vont être relevé de leur fonction : le colonel Sanderling, le lieutenant Anderson, le commandant Bushman et les deux soldats Jenkins et Ramirez. dit le commandant en chef de la flotte oméga.
le greffier prit note et l'amiral demanda si cela était tout, personne n'intervint, il dit donc que le conseil de guerre était terminé.
***
centre de commandement du système de Magelan._ Monsieur, un cargo non identifié vient de sortir de l'hyperespace, doit on l'abattre?
_ demandait une identification, enseigne.
_ oui monsieur... cargo non identifié, vous venez d'entrer dans une zone contrôlé par les rebelles, veillez vous identifié, ou nous ouvrons le feu.
_ ici, cargo non identifié dit le lieutenant Anderson, avec une pointe d'ironie dans la voie. mon vaisseau à de nombreuses avaries, pourriez me fournir un remorquage, et une équipe médicale j'ai un blessé à bord.
_ et vous ne voudriez pas un croiseur ainsi qu'une escorte, tant qu'on y est?
_ dites simplement à votre commandant que Flinch est là et qu'il veut le voir.
le silence se fit sur la fréquence communication. Puis une voie se fit entendre dans les haut parleurs:
_ ici le poste de commandement, vous pouvez vous posez dans le hangar 5.
_ Merci, répondit le lieutenant.
Le lieutenant prit les commande en manuel, se dirigea vers les hangars et se posa dans le hangar 5. le vaisseau s'arrima sur le quai, et le lieutenant coupa les moteurs.
Tous le monde sorti, Jenkins et Ramirez portèrent le colonel jusqu'à l'unité médicale.
le lieutenant s'approcha d'un homme de taille moyenne, brun, le visage buriné par le temps, un regard insistant et une large cape d'un ancien officier de la flotte.
Le lieutenant, s'approcha et fit une accolade chaleureuse. L'homme lui rendit et donna un ordre au médecin qui prit le colonel le mit sur une civière, et il partit vers une coursive.
L'homme regarda le lieutenant et nous fit signe de le suivre. La station sur laquelle nous nous étions posée était bien plus grande que ce que je l'avais imaginé au premier coup d'œil.
Nous avons marché pendant environ 5 minutes, jusqu'à ce qui semblait être un salon. l'homme s'assit et nous fîmes de même et il prit la parole.
_ Messieurs, bienvenu dans ma modeste station spatiale. Je suis le commandant Riley et ceci est la base de la rébellion.
Je porta la main à mon arme, un pistolet 45 automatique. L'homme sourit et ne réagit pas, le lieutenant m'ordonna de baisser mon arme.
_ Donc, lieutenant cela fait assez longtemps. Les chantiers du point 22.a?
_ Presque, en fait c'était l'attaque de la flotte contre les pirates de Kalambra.
_ Un fiasco militaire cette opération. La rébellion c'est formé à partir de la défaite de la flotte.
La discution fut plutôt longue. le commandant Riley, demanda ce que des officiers supérieur pouvait bien faire ici. Le lieutenant expliqua tous ce qui c'était passé, le lieutenant lui demanda de nous permettre de rester sur ça base le temps que les choses se tassent et que nous étions capable de rejoindre la rébellion.
***
Un parloir, un homme assis sur une chaise m'observe. Il se pressente comme étant mon avocat, maître Raferty. Je le regardai droit dans les yeux, qui faisait apercevoir un regard d'amitié, il m’expliqua que mon procès ne serait pas une mince affaire, mon premier jugement m’avait condamné à 20 ans de prison, et l’appel ne serait examiné qu’avant 1 à 2 ans. Puis il me montra un document, qui ressemblait fort à un aperçu fait par une sonde spatiale d’une zone de arctique, où plusieurs bâtiments militaire qui était en stand-by. Je ne compris pas sur le coup, et il me regarda, puis il fit remuer ses lèvres mais aucuns son n’en sortis, ayant était espion je savait lire sur les lèvres. Ensuite il me passa une carte, il se leva et dit que nous en avions finis. Un gardien me raccompagna à ma cellule, j’eus le temps de glisser la carte dans ma manche, et je marchais dans le couloir. Le trajet jusqu'à ma cellule ne fut pas long, le gardien déverrouilla la porte et me fis entrer, puis il verrouilla la porte.
Je fus seul un long moment me ressassant les paroles de mon avocat, « lieutenant, nous savons que vous êtes innocent. La carte que je vous fais passer est un pass pour sortir de cette sordide prison, elle a les accréditations pour vous permettre de rejoindre la zone de déchargement de là un vaisseau vous attendra. Bonne chance. ». Ces paroles avaient un goût bien connu en mon fort intérieur, ce sentiment de danger et d’aventure. Je me releva de mon lit, regarda ce qui avait été pendant 2 ans un chez moi. Je me regarda dans le miroir, mon visage avait toujours sa balafre sur la joue gauche, qui résultait d’une bagarre dans un pub contre des personnes peu recommandable, mes mains avait perdu leur vitesse de frappe de l’époque où j’était à l’académie militaire, mais était encore suffisamment solide pour envoyer quelqu'un valser avec les anges. Mes jambes avaient oublié la sensation de courir, mais elles portaient toujours les traces d’un long entraînement.
Je passai la carte dans la fente prévue à cet effet, j’entendis comme un clic, et la serrure s’ouvrit. Un regard à droite et à gauche m’indiqua que les gardiens avaient quittés le couloir, je compris de suite pourquoi, un tir ébranla la superstructure de la prison. Je vis un groupe de gardien passer à toute allure vers le couloir A-12, ce qui ne signifiait qu’une chose. Des hommes avaient pénétré le périmètre de sécurité, cela fut suffisant pour moi. Je parti en courant vers les docks de déchargement.
***
A bord d’un destroyer de classe alpha, 10 minutes avant.
_ Mon commandant, nous sommes prêts à engager le combat, dit un officier de passerelle.
_ Parfait sautait en supraliminaire à mon ordre, Répondit le commandant, nous devons attendre le message du sergent Raferty, puis nous irons chercher le colis.
_ Bien reçu, mon commandant, dit officier en se retournant vers sa console.
Soudain l’écran principal s’activa, le sergent apparut dessus et indiqua qu’il était suffisamment loin de la cible et que le colis était prêt. Le commandant se caressa la barbe et indiqua un vecteur de saut aux hommes de la navigation pour atteindre la cible.
L’espace autour du
Transilvania, se transforma en de nombreux trait blanc et bleu noir, qui déchirait l'espace.