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 Ta du feu ? - 2012

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MessageSujet: Ta du feu ? - 2012   Ta du feu ? - 2012 I_icon_minitimeLun 28 Jan - 20:16

Vienne Decembre 1910.

Le postier ferma la porte a clef,en grelotant.L'hiver était particuliérement rude cette année la.Le vent glacial soufflait impitoyablement,coupant comme un rasoir.Il était d'ailleur étonnant qu'il n'est pas encore neiger.Et malgrer son écharppe de laine et son épais mentaux l'homme était gelé jusqu'aux os.L'homme se mit a marcher d'un pas rapide et décidé,le retour au logis allait étre pénible.Il pénétra dans une ruelle sombres ou y ni avait pas ame qui vive.Soudain au croisement entre deux ruelles apparut un homme.Vetus de vétement sombres passablement usée,et d'un mantau ou de larges trous était visible.Malgrer le peu de clarté le postier vis que l'homme semblait jeunes,une vinghtaine d'années tout au plus,et avait les cheveux court.Mal rasé,véhiculant une odeur déseagrable,il portait a la bouche une cigarette.A sa vus le postier eu un léger sursaut.L'inconnus se rapprocha

-Pardon,ta du feu ?

Intimidé par cette étonnante demande,l'employé des postes sortis son briquet et le tendit au jeunes hommes.Malgré les rafales,la cigarette prit feu.Il remarqua que ce miséreux avait les yeux clair et semblait d'un naturel nerveux.Lentement,le jeune homme se rapprocha.

-Je vis ici dans la rue,a une centaine de métres,je peint des tableaux et élabore des dessins,tu veut pas en acheter ?

Intrigué,le postier était partagé entre le désir de s'en allé pour échappé au glaciales rafales et resté pour satisphére sa curiosité.Le miséreux partis au bout de la rue et en revint avec une valise.Rapidement il l'ouvrit devant l'emploiyé des postes,et étalé une petite dizaines de dessins,et autres aquarelles de bases qualité sur le sol,luttant pour évité qu'elle ne s'en volent.

- Choisis,ton prix sera le mien.

-Ou travaillez vous ?

-Je ne travaille pas répondit le jeune homme,on vient de me refusé d'entré a l'academy pour la troisiéme fois.Il ne prenne que des juifs.je peint sa pour survivre dans la rus ou bien dans les bars.Je pense rentré cher moi.Linz me manque.

Le postier mit un genoux a terre et contemplas les oeuvres étalé sur le sol.D'une banalité affligeante,déssiné sans grand talents,approximative parfois,voire maladroite,son regard passa sur cette sinistre collection.Il en saisit une.Il s'agit d'un tableau représentant un court d'eau entourer par de verts paturages.En passant le doights dessus,l'homme remarqua que la peinture commencé a partir.Il le reponsa et en saisit deux qui furent a proximité.Le premier était le portrait d'une femme d'un certains ages,au cheveux gris et au yeux percant de faces,un grain de bauté au dessous de l'oeuil gauche.Le second représentait une petite fille assise sur une chaise de bois,arborant une robe a fleur et tenant une poupée de chiffons au cheveux clair.L'homme d'age mur choisit ce dessins.Bancal,voire quelquonque,il était convaincus qu'il aurait était capable de l'élaboré lui méme,voire de faire mieu.Malgré tout il décida de l'acheté afins de permettre a ce jeune homme de remonté quelques peu la pente,lui apporté un peu de réconfort.Il faisait peine a voir,ses vétements était en lambeaux,et la lueurs de la pleine lune avait permit a l'emploiyé de tris postal de voir que son visage et ses mains était couvert de crasse.Il sortit de sa poche une piéce et la tendit au jeunes homme.Ce dernier lui adressa un sourire au dent recouverte de plusieur couche de tartre.

-Que dieu te vienne en aide aussi.

Puis le démunis remballa sa marchandise avant de disparaitre dans la ténébreuse ruelle.L'homme tenait le dessins d'une main et se remit en route.Au moins cela fera plaisir a sa petite fille,elle l'affichera peut étre au dessus de son lit.L'innocence de la petite fille représentait l'avait émut.Le vent totalement déchainé,l'obscurité,et la nature monochrome et sombre de l'illustration,fit que l'homme ne pus prété attentions a la signature de cette artiste faite d'initiale,se trouvant prés d'un des pieds de la chaise.A.H.L'homme pénétra cher lui,se placeant devant sa cheminé,en repensant a la détrésse de ce jeune homme.Comment peut on affronté un hiver aussi cruel sans chaude flammes,sans un brasié ardent pour se réchauffé ?
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